La radicalisation islamiste : l’excuse psychiatrique
L’islamo-gauchisme tisse sa toile autour du président
Macron. Ce dernier n’a jamais été clair sur sa position vis-à-vis de l’islam
politique. Les derniers évènements commencent à éclaircir la pensée dominante à
l’Elysée.
Le suicide d’un homme avec sa voiture qui oublie de se
suicider dans une pizzeria. Mais qui tue. Un déséquilibré fonce avec sa
camionnette dans un abris-bus à Marseille avant de prendre la fuite. Mais qui
tue également. Et ce matin, le ministre de l’Intérieur qui déclare chez
Jean-Jacques Bourdin (BFM/RMC) qu’un tiers des radicalisés présente des
troubles psychiatriques voir sont des malades mentaux.
Le joug de la pensée islamo-gauchiste, adepte de la théorie
de l’excuse pour les délinquants, l’étend aux radicalisés islamistes, et donc
aux terroristes islamistes. L’objectif ? Surtout ne pas parler d’islam
politique, de salafisme, de radicalisation. C’est un peu comme si, après la
Seconde Guerre Mondiale, on avait pris en compte les troubles psychiatriques
des dignitaires nazis pour atténuer leur responsabilité.
Tout le monde est alors excusable. L’imam qui appelle a tué
des femmes et des enfants aveuglément n’est-il pas un déséquilibré mental ?
Arrêtons tout de suite. Ce que l’on constate c’est que les deux derniers
évènements en France ont été commis par des musulmans dont la radicalisation n’a
pas été démontrée (ou même recherchée). Pour preuve, les premiers éléments de l’enquête
à Marseille, montre que des livres politiques islamistes auraient été retrouvés
dans la camionnette.
Ne nous laissons pas manipuler. Les victimes de Sept-Sorts
et de Marseille ont été victimes de deux attentats terroriste islamiste. On ne
gagne pas une guerre en refusant de nommer l’ennemi.