Banlieues : "Ici, prochainement, ouverture d'un supermarché de drogues" !
Des
surveillants de prisons agressés, des militaires de la force sentinelles
déprimés, des policiers en colère, laxisme présumé des autorités judiciaires,
absence de reconnaissance des victimes… et pendant ce temps-là, dans le
quartier du Mirail à Toulouse, les trafiquants de drogues profitent des murs
des immeubles pour afficher les tarifs de leurs marchandises (cocaïne, herbe et
résine de cannabis…). Ce n’est pas une première. Il y a quelques mois, toujours
à Toulouse, à la Reynerie, les murs se couvrent de publicité vantant la qualité
de la « marchandise ». Dans le quartier des Izards, aux entrées de
certains immeubles, les résidents sont informés par affichage des risques qu’ils
prenaient en dérangeant le trafic ou en collaborant avec les forces de police…
Mais
comme nous l’assurent tous les gouvernements qui se sont succédé, il n’existe
pas de zones de non droit en France ! Quand cessera l’aveuglement ! Qui
aura le courage politique de dénoncer ces hordes de voyous qui mettent en
coupes réglées des quartiers entiers profitant de la peur et de la détresse de
leurs habitants. Le ministère de l’intérieur a
dénombré 360 zones « sensibles ». Dans ces zones vivent 4 millions
d’habitants, qui ne sont pas tous djihadistes, pas tous trafiquants de drogue,
pas tous anti-français. Certainement qu’une grande partie d’entre eux sont des
victimes, pris en otages par ces minorités agissantes.
Sur
ce terreau fertile, nourri de trafics de stupéfiants, d'armes et de recels
de toutes sortes, prospère et se développe l'islamisme radical, seule réponse
offerte à une jeunesse en perdition. Des dizaines de milliards d'euros
(entre 100 et 200 milliards selon la Cour des comptes qui n'y retrouve même
plus ses petits) ont été dépensés sans réel résultat.
A)
Il faut ordonner à l’armée de prendre possession de ces territoires abandonnés.
Epaulée de la police qui connait le terrain, chaque cave, chaque squat,
chaque recoin des cages d’escaliers doivent être inspectés. Les arrestations
doivent se multiplier pour contrôler la situation des interpellés. Des
expulsions ou des incarcérations doivent être prononcées par des magistrats
mobilisés dans cette action d’envergure.
1. Réaffirmer
la position "tolérance zéro" de Nicolas Sarkozy sur la délinquance
(renforcer les effectifs de police urbaine dans les commissariats afin de doubler
les BAC - et non combler le manque avec des CRS, augmenter le
nombre d'officiers de police judiciaire spécialisés dans la lutte contre
le trafic de drogues) et interdire les imams radicaux (organiser un islam
de France avec un enseignement institutionnalisé, rendre obligatoire les prêches
en langue française); imposer un couvre-feu pour les mineurs de 13 ans;
interdire les rassemblements de plus de 10 personnes sans déclaration préalable.
2.
Un travail de modernisation, d’allègement et de simplification du code de
procédure pénale (notamment pendant la période de l’enquête préliminaire) doit
être réalisé afin d’éviter toutes les remises en liberté liées à des erreurs de
procédures. Les mesures de privation de liberté dans les enquêtes liées au
terrorisme ou au trafic de stupéfiants doivent être portées à 14 jours.
3.
Contre la fraude dans les transports en commun doit être autorisé le contrôle
d’identité, la fouille au corps, la rétention administrative par la police des
transports créée à cet effet en remplacement des agents SNCF ou RATP. Face aux
dégradations commises dans les banlieues à certaines périodes de l’année, et
pour lutter contre le hooliganisme (notamment lié au foot), une législation
spécifique « anti-émeutiers » doit être proposée alourdissant les
peines encourues.
4.
Les maisons d’arrêts (personnes présumées innocentes en détention provisoire ou
détenus condamnés dont le restant de la peine à exécuter est inférieur à 2 ans)
doivent être privatisés. Le personnel conserve sa qualité de fonctionnaire et
est rattaché à la direction de l’administration pénitentiaire.
Rénovation par l’Etat des établissements pour peine. Chaque
détenu ou condamné doit pouvoir bénéficier d’une cellule individuelle avec
toilette et douche. Les détenus sont rassemblés au sein de quartiers en
fonction de leur dangerosité potentielle et les motifs de leur détention. Les
détenus poursuivis pour des infractions d’ordre sexuel sont rassemblés au sein
d’un quartier spécifique bénéficiant d’un encadrement psychiatrique.
Renforcement des mesures de réinsertions sociales, de maintien des liens
familiaux et du suivi administratif et psychiatrique des anciens détenus.
Aucune
permission ou remise de peines ne peut être accordé si les deux tiers de la
peine n’ont pas été exécutées. Rétablissement des peines planchers. Instauration
de la double peine permettant l’expulsion des condamnés étrangers ayant purgé
leur peine vers leur pays d’origine.
6.
Les fonctionnaires dépendants du ministère doivent se voir proposer à chaque
mutation des logements décents hors des banlieues pour la sécurité des
familles. La réalisation d’heures supplémentaires et les conditions de paiement
de celles-ci doivent être soumises aux conditions du droit du travail.
B. Revaloriser
l'école et rendre perméable l'enseignement suivi avec la réalité économique afin
d'encourager les vocations et les ambitions personnelles. Développer
l'apprentissage et faciliter l'accès aux études supérieures via des bourses au
mérite.
Il
faut mener une révolution libérale de l'école dont les missions priment
sur les principes.
L'Ecole doit faire de l'enfant un Citoyen éclairé
et autonome capable de raisonnement d'abord, lui offrir une
compétence professionnelle adaptée à ses aspirations et à ses compétences
intellectuelles et physiques ensuite, et le respect de l'autorité et des
valeurs couronnant le tout enfin.
Cette révolution libérale de l'Ecole doit s'articuler autour de trois axes :
1. Les établissements scolaires (écoles primaires, collèges, lycées) doivent être autonomes à l'image de nos universités. Les chefs d'établissement doivent devenir de réels supérieurs hiérarchiques du corps enseignants avec des compétences élargies (possibilité de recruter eux-mêmes les profs).
2. Les acteurs de l'établissement doivent être responsabilisés : services modulables, enseignements de plusieurs matières, élargissement des heures de présence dans l'établissement, heures de formation hors des horaires de cours.
3. Les métiers d'enseignants doivent être revalorisés : augmentation salariale, primes au mérite, mise à disposition dans les locaux de l'établissement d'un bureau individuel (permettant le travail personnel et la rencontre en toute confidentialité des parents), modernisation des outils mis à leur disposition (ordinateur portable, smartphone, abonnement internet).
Les grands principes de l'Ecole doivent être aménagés :
1. La liberté d'enseignement, qui consiste en la cohabitation du public et du privé, ne doit pas être contraint par la carte scolaire.
2. La gratuité de l'école doit être assurée par la mise à disposition des fournitures scolaires au sein de coopératives sous la responsabilité du chef d'établissement en lieu et place du versement de la "prime e rentrée".
3. La neutralité de l'enseignement doit simplement consister en l'absence de prosélytisme du corps enseignant. Une neutralité complète est incompatible avec l'objectif de formation de citoyens éclairés.
4. De même, la laïcité n'est pas la promotion de l'athéisme et le refus de la religion. La laïcité c'est le "vivre ensemble" dans le respect mutuel et avec la reconnaissance des origines chrétiennes de la nation française.
5. L'enseignement public jusqu'à 16 ans est un frein au développement personnel des jeunes adolescents en échec scolaire dont l'absentéisme important n'est jamais sanctionné. La présence de ces jeunes adolescents dans les classes complique la tâche des enseignants et est nuisible pour l'ensemble des élèves. Obligatoire dans un unique souci d'égalitarisme totalitaire, ce principe doit être amendé et ramené à 13 ans.
Cette révolution libérale de l'Ecole doit s'articuler autour de trois axes :
1. Les établissements scolaires (écoles primaires, collèges, lycées) doivent être autonomes à l'image de nos universités. Les chefs d'établissement doivent devenir de réels supérieurs hiérarchiques du corps enseignants avec des compétences élargies (possibilité de recruter eux-mêmes les profs).
2. Les acteurs de l'établissement doivent être responsabilisés : services modulables, enseignements de plusieurs matières, élargissement des heures de présence dans l'établissement, heures de formation hors des horaires de cours.
3. Les métiers d'enseignants doivent être revalorisés : augmentation salariale, primes au mérite, mise à disposition dans les locaux de l'établissement d'un bureau individuel (permettant le travail personnel et la rencontre en toute confidentialité des parents), modernisation des outils mis à leur disposition (ordinateur portable, smartphone, abonnement internet).
Les grands principes de l'Ecole doivent être aménagés :
1. La liberté d'enseignement, qui consiste en la cohabitation du public et du privé, ne doit pas être contraint par la carte scolaire.
2. La gratuité de l'école doit être assurée par la mise à disposition des fournitures scolaires au sein de coopératives sous la responsabilité du chef d'établissement en lieu et place du versement de la "prime e rentrée".
3. La neutralité de l'enseignement doit simplement consister en l'absence de prosélytisme du corps enseignant. Une neutralité complète est incompatible avec l'objectif de formation de citoyens éclairés.
4. De même, la laïcité n'est pas la promotion de l'athéisme et le refus de la religion. La laïcité c'est le "vivre ensemble" dans le respect mutuel et avec la reconnaissance des origines chrétiennes de la nation française.
5. L'enseignement public jusqu'à 16 ans est un frein au développement personnel des jeunes adolescents en échec scolaire dont l'absentéisme important n'est jamais sanctionné. La présence de ces jeunes adolescents dans les classes complique la tâche des enseignants et est nuisible pour l'ensemble des élèves. Obligatoire dans un unique souci d'égalitarisme totalitaire, ce principe doit être amendé et ramené à 13 ans.
C)
Reprendre le plan Borloo dans son ensemble et faciliter l'installation de
petits commerces et de très petites entreprises (via le micro crédit et des
taux bonifiés - utilisation des ressources excédentaires du Livret A) ;
faciliter l'accès à la propriété en proposant des prêts sur très longues durées
et à taux non margés aux locataires de HLM afin qu'ils rachètent leur
appartement (plutôt que de consentir des prêts aux offices HLM).
2018 ©Laurent SAILLY – Méchant Réac ! ®