«2020 a confirmé que ce sont les États qui dirigent et non les institutions internationales» par Jean-Baptiste Noé


FIGAROVOX. - Quel évènement dans le monde vous a le plus marqué cette année et pourquoi?

Jean-Baptiste NOÉ. -
Bien évidemment, l’épidémie de coronavirus a été le fait marquant de 2020. Mais pour évoquer un événement important dont on a pourtant peu parlé, je mentionnerai le relèvement du bitcoin, dont le cours a atteint son plus haut historique en approchant les 30 000 dollars. Après son krach de janvier 2018, beaucoup le donnait pour mort.

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Cette cryptomonnaie a pourtant montré sa capacité de redressement et de survie. Or ce qui se joue autour du bitcoin et des cryptomonnaies pourrait conduire à des changements géopolitiques majeurs dans les années à venir. Jusqu’à présent, la monnaie a été un monopole étatique. Avec les cryptomonnaies, elles échappent aux États et aux banques centrales pour devenir des monnaies privatisées.



Les textes rassemblés dans ce livre sont parus entre 2017 et 2019 dans l'Institut des Libertés. Ils forment une approche globale de la géopolitique comme discipline qui étudie les ombres de la terre à travers l'histoire, la géographie, les relations internationales, l'économie, la culture. Si certains textes sont directement liés à l'actualité, d'autres sont plus théoriques et proposent une réflexion sur les sciences sociales et la destinée humaine. Ils renouvellent l'analyse géopolitique en en montrant toutes les dimensions pratiques.
Un ouvrage essentiel pour décrypter le monde et en comprendre les enjeux.
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