"Feindre la nature paisible de l’islam permet à cette religion d'échapper aux critiques" par Ferghane Azihari


En 1905, Max Weber publiait un ouvrage pour expliquer les inégalités économiques entre les protestants et les catholiques de son pays. Selon le sociologue allemand, le protestantisme valorise davantage l’effort et la vie austère. Il encourage ses adeptes au labeur et à l’épargne. C’est pourquoi ils connaissent une accumulation du capital plus rapide. Que l’on adhère ou non à la lecture du protestantisme de Weber, il est difficile de nier son hypothèse : les croyances ont une influence décisive sur l’action humaine.

ERREUR DU MATÉRIALISME

Jusqu’au XIXe siècle, tout le monde admettait cette hypothèse. Ainsi, les penseurs des Lumières subordonnaient la lutte contre l’oppression à celle contre l’obscurantisme. Dans son Essai sur les mœurs, Voltaire note que l’histoire n’a cessé d’être défigurée par les superstitions, « jusqu’à ce qu’enfin la philosophie vienne éclairer les hommes ». Cette conception « subjectiviste » de l’histoire – qui fait des croyances individuelles son moteur – a laissé place à une lecture « matérialiste ». Selon les matérialistes, les idées sont secondaires. Elles n’ont aucune influence et dépendent de circonstances politiques ou économiques qui les précèdent.

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