Quand la culpabilisation des Français ne marche plus… par Jean-Paul Brighelli


La structure perverse suppose la culpabilisation d’autrui — puis sa punition. Il est entendu que si la punition est bien réelle, la culpabilité, elle, est imaginaire — ce sont les meilleures…

J’ai un peu étudié la structure perverse à l’œuvre dans les relations sado-masochistes, pour préfacer les récits de mon ami Hugo Trauer rassemblés dans les Patientes en 2004. Mon analyse était limitée aux relations entre Maître et Esclave, et ne concernait que des jeux plus ou moins cinglants entre adultes consentants.

Je n’aurais jamais pensé que le schéma que j’établissais alors (faiblesse initiale, construction d’une culpabilité, aveu, châtiment et réconfort — ad libitum) serait susceptible de s’appliquer à la politique menée par le gouvernement dans ce contexte d’urgence sanitaire.
Et pourtant…

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