« Islam: pourquoi beaucoup, en France, s’interdisent de nommer les faits qui gênent »
Il n’est sans doute pas de sujet plus clivant dans la France d’aujourd’hui que ce qui touche à l’islam et au monde musulman. Il n’est quasiment pas de semaine sans que la polémique ne renaisse à son propos: la tenue islamique, du burkini dans les piscines aux mères voilées accompagnant les sorties scolaires, vue par certains comme un symbole féministe de liberté en dépit de la place que lui donnent les pays musulmans les plus attachés à l’enfermement des femmes ; les agressions contre des juifs ponctuées de «Allah akbar», dont on voit nier qu’elles aient un rapport avec une forme d’antisémitisme.
Le concept d'islamophobie est un leurre, une illusion, une intoxication ! Il complique ce qui est simple, il obscurcit ce qui est clair.
Il entretient le ressentiment au lieu de favoriser la concorde.
Il pousse à la sécession au lieu d'encourager le rassemblement.
Pour rendre meilleur les rapports entre l'Occident et le monde de l'islam, il faut échapper à cette manipulation et cultiver un regard de vérité.
Il entretient le ressentiment au lieu de favoriser la concorde.
Il pousse à la sécession au lieu d'encourager le rassemblement.
Pour rendre meilleur les rapports entre l'Occident et le monde de l'islam, il faut échapper à cette manipulation et cultiver un regard de vérité.
Une telle clarification n'aiderait-elle pas le monde musulman à s'interroger sur lui-même ?
En faisant croire aux musulmans qu'ils sont des victimes systématiques, ne les prive-t-on pas de leur sentiment de responsabilité ?
En faisant croire aux musulmans qu'ils sont des victimes systématiques, ne les prive-t-on pas de leur sentiment de responsabilité ?
Pour la première fois, Philippe d'Iribarne apporte un éclairage et des réponses concrètes.