Affaire Griveaux : paysage après la bataille

Pour un cerveau lent, surtout avec les désormais officiellement sataniques réseaux sociaux, il n’y a pas plus urgent que de laisser passer un peu d’écume sur les bas instincts rigolards et ripailleurs… bref : gaulois, réfractaires et bien peu luthériens. Découvrir le roi nu « en live » – ou du moins son sous-intendant en sous-chef mais néanmoins quintessence invraisemblable de l’arrogance la plus crasse et brute – et « la main dans le sac » (si on peut dire), c’est forcément un moment où la sidération navrée le dispute au nécessaire besoin d’ouvrir enfin les vannes. Plus le Schtroumpf à lunettes se montre détestable d’hypocrisie, plus on jubile (mais on a honte, hein !) de voir son propre boomerang lui revenir impitoyablement dans la gueule.

Alors d’accord.

D’accord, la méthode est dégueulasse, minable, infecte. D’accord, le fait que ça tombe sur le plus flamboyant des faux-culs de cette mafia infantile de caïdomanes cooptés et déniaisés de traviole en décuple le caractère burlesque et cathartique. D’accord, ça n’augure rien de bon quant à l’état réel de nos sociétés et Institutions, entre amerloquisation puritaine devenue pavlovienne par la force de l’habitude, assignations imbéciles à la transparence des Tartuffe de tous (à) poils et inclinations gestapo-maccarthystes à la délation civique au service de la Vertu et du Bien (puisque comme chacun sait, le Mal, c’est l’autre). D’accord, que l’un des plus zélés et frénétiques – à défaut de bravoure, puisqu’il en a déjà maintes fois donné la preuve – mercenaires de ce « nouveau monde »-là s’effondre piteusement comme un soufflé, après avoir violemment raillé tous ses adversaires dans des termes et selon des considérations qui n’étaient pas beaucoup plus dignes que la massue qu’il a reçue en pleine tronche, ça donnerait presque l’illusion qu’il y a une justice quelque part, alors qu’on la croyait passée par pertes et profits. Oui mais d’accord, mais y a-t-il une justice quand, précisément, il n’y en a plus ?
Et après ? On peut le déplorer. S’en étonner un peu moins. Mais alors que faire ?

C’est bien le problème.
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