Coronavirus: retour du tragique et «réserves d’humanité»

Une pandémie de coronavirus a surgi dans notre vie quotidienne et l’angoisse de la maladie grave et de la mort s’est insérée dans les rapports sociaux. C’est notre monde et nos repères familiers qui vacillent avec des effets possibles de sidération. Dans une société développée du XXIe siècle, on pouvait croire que les épidémies qui ont marqué l’histoire étaient désormais derrière nous. On a vu venir la pandémie sans y croire vraiment. Il a fallu quelque temps pour reconnaître l’importance du danger et ses effets dévastateurs qui ne restaient pas cantonnés dans des pays lointains et allaient concerner, à différents degrés, toutes les générations.
L’événement a bousculé et fragilisé des habitudes et des modes de vie qui pouvaient jusqu’alors nous apparaître comme intangibles. Celles-ci étaient tellement inhérentes à la vie moderne qu’on n’y prêtait pas attention. Aujourd’hui, ce qui nous semblait «naturel» cesse d’être évident. Nous sommes confrontés au tragique et renvoyés aux limites de notre condition, à la «fragilité des choses humaines», des œuvres et des institutions. Ce temps suspendu peut être l’occasion de nous recentrer sur l’essentiel pour essayer de comprendre les défis de notre temps et commencer à en tirer quelques leçons. Cette crise sans précédent est un révélateur de l’état du monde, de notre démocratie et de notre civilisation.
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