Jacques Garello : Il y aura bien un impôt, mais pas celui qu’attendent les Français

Je comprends que beaucoup de contribuables soient rassurés.
En particulier ceux qui paient un impôt sur le revenu très progressif (10 % de « riches » paient 70 % du produit de cet impôt) ; ceux qui paient l’IFI (ils ont le malheur de posséder une fortune immobilière d’une valeur actuelle supérieure à 1,3 million), ceux qui sont actionnaires d’une entreprise (petite, moyenne ou grande) et sont frappés par les impôts sur les profits.
À juste titre, ils craignaient que la campagne anti-riches inspire un retour à l’ISF, une augmentation des taux sur les tranches supérieures de revenus, une spoliation complète des profits. Cela ne s’est pas produit – pour l’instant – et ce faisant, le Président est plus que jamais accusé de faire des cadeaux aux riches.
Pour relancer la croissance, une politique libérale aurait consisté, entre autres, non pas à rejeter de nouveaux  impôts, mais à baisser leurs taux actuels, et spécialement les taux marginaux.
Les résultats d’une telle politique sont très rapides : les gens travaillent davantage quand ils savent qu’ils travaillent pour eux plutôt que pour le fisc. La production s’accélère, la croissance redémarre, le chômage diminue et paradoxalement c’est une  bonne affaire pour les recettes fiscales puisque la matière fiscale augmente.
C’est ce que l’on appelle « l’effet Laffer », du nom du conseiller fiscal de Ronald Reagan. Toutes les expériences en ce sens ont réussi, y compris la plus récente menée par Donald Trump dès son élection. Mais à Bercy on ne croit pas à l’effet Laffer…
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