Olivier Babeau : «La Convention citoyenne pour le climat affaiblit les institutions démocratiques traditionnelles»
On pouvait craindre qu’à défaut d’être un innocent accessoire de communication politique, ce qui aurait été un moindre mal, elle ne soit que le faux-nez d’un exécutif qui tente de légitimer ses réformes. Au vu des résultats, elle aura été pire que cela, car détournée en porte-voix des élucubrations écolo-totalitaires les plus folles portées par quelques minorités actives qui sont parvenues à en prendre les commandes.