Josepha Laroche : L’écriture inclusive, une novlangue inquiétante


Instance consultative indépendante créée le 3 janvier 2013 et placée auprès du Premier ministre de la République française, le HCE (Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes) défend depuis 2015 le recours à l’écriture inclusive dans la langue française. À cet effet, il a publié un guide prônant « une communication publique sans stéréotype de sexe ». Toujours dans cet esprit et afin de ne pas « invisibiliser les femmes », il a préconisé d’accorder les noms de métiers, les titres et les grades avec le sexe des personnes qui les occupent.

Mais qu’entend-on exactement par « écriture inclusive » ? Cette graphie, dite également non sexiste ou dégenrée – pour reprendre le sabir de ses thuriféraires –, est un ensemble de règles et pratiques qui entendent lutter contre la domination masculine, le patriarcat, les stéréotypes sexistes et toute discrimination de genre inscrite dans la langue française. Considérant que le langage est politique, les promoteurs de ce mouvement lexical estiment que le pouvoir des hommes prend sa source dans le pouvoir sur les mots. Dès lors, leur combat consiste à passer au crible et à réformer de fond en comble non seulement le vocabulaire, mais aussi la grammaire, la syntaxe et jusqu’à la typographie.

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