Guillaume Bigot : l’islamisme, un patriotisme de substitution


Au lendemain de chaque attentat, la quasi-totalité de la presse et de la classe dirigeante entonne le mantra du « pas d’amalgame ». Ce réflexe pavlovien visant à prévenir l’islamophobie, comme la volonté de chercher des excuses à l’inacceptable, deviennent insupportables. D’abord parce que personne en France ne s’en prend aux musulmans. Ensuite car ce discours fait le jeu des islamistes. Enfin et surtout, cette volonté de défendre préventivement les musulmans contre un amalgame imaginaire risque de produire des effets inverses à ceux recherchés. Évidemment, l’Islam paisible n’est pas l’islamisme mais c’est ce dernier qui progresse. L’islamisme séduit de plus en plus de jeunes, y compris des convertis.

Le sondage Ifop, commandé par Charlie Hebdo, montre que 26 % des jeunes français musulmans ne condamnent pas les attentats de janvier 2015. Ce fait est bien plus inquiétant que l’attaque perpétrée, vendredi matin, par un ressortissant pakistanais. Les islamistes progressent par la ruse, l’entrisme et la conversion et apprennent aux jeunes français à détester leur pays. S’ils le pouvaient, ils appliqueraient la loi coranique qui condamne à la mort ceux qui se moquent de Mahomet. Ils investissent les prisons, les salles de sport, les commerces et cherchent à couper du reste de la société ceux qui tombent sous leur emprise. Le véritable danger réside dans la propagation de cette idéologie qui enferme de plus en plus de jeunes à l’intérieur d’une communauté antagoniste.


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