Laurent Sailly : Le chef Taku Sekine a-t-il été tué par la cancel culture ?



Taku Sekine, l’une des toques les plus en vue de Paris, a mis fin à ses jours le 28 septembre, à l’âge de 39 ans, après une « grave dépression » consécutive à sa mise en cause publique sur les réseaux sociaux après une accusation d’agression sexuelle explique un communiqué diffusé par sa famille. En septembre, le nom du chef nippon était sorti sur le site spécialisé Atabula.

Nos propos ne sont pas ici de juger qui est dans son bon droit, ni si le site Atabula a fait correctement son travail d’investigation. Je vous propose de nous interroger sur la place de l’État de droit en France et le rôle des réseaux sociaux dans la libération de la parole. Nous tenterons de répondre aux questions suivantes :

  • Le dispositif législatif est-il suffisant ?
  • Les réseaux sociaux sont-ils un nouveau totalitarisme ?
  • La cancel culture est-elle un progrès ou une régression de notre société ?

Un seul but guide notre réflexion : comment lutter efficacement contre le viol et les violences sans pour autant transformer la victime en bourreau, la collectivité des individus en foule hystérique, la justice émanant de l’État de droit en vengeance privée ?

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