Édouard Tétreau : «Face à l’islamisme, la leçon politique du général de Gaulle»


«Voici novembre.». Par ces deux mots, le général de Gaulle ouvrait le dernier chapitre de ses Mémoires de guerre. Il n’aimait pas le mois pluvieux et sombre de sa naissance (le 22 novembre 1890), le mois du Jour des morts, qui fut aussi celui de sa disparition (le 9 novembre 1970), dont nous célébrons cette année le cinquantenaire. Novembre 2020 s’annonce tout aussi lugubre, entre un confinement suicidaire (tuer commerces et restaurateurs juste avant Noël) ; des hôpitaux publics débordés par l’épidémie, le centralisme jacobin et l’impréparation de leurs chefs ; et des islamistes tuant au gré de leur barbarie un enseignant, des femmes et un sacristain en train de prier dans une église, ou menaçant la semaine dernière les Arméniens de Dijon, Vienne et Décines, de pogroms en bonne et due forme.

Ce n’est pas encore la «Toussaint rouge» de 1954 - les assassinats d’un couple d’instituteurs, de quatre militaires et deux policiers qui démarrèrent la guerre d’Algérie. Mais c’est le début de quelque chose, en France comme en Europe (Vienne).

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