Valérie Toranian : Le martyre de l’Artsakh, république arménienne, abandonnée aux islamistes par l’Occident


Dieu habite l’Artsakh : les Arméniens n’en ont jamais douté. Même au plus fort de la guerre qui les a opposés pendant 45 jours à l’Azerbaïdjan, la Turquie et leurs djihadistes syriens. Une guerre perdue. Une guerre qui ne ressemble en rien à celle qui, entre 1992 et 1994, avait permis aux Arméniens de désenclaver la République autonome du Haut-Karabakh et de l’extraire des tenailles azerbaïdjanaises après les pogroms anti-arméniens de 1988 et 1990. À cette époque, des hommes affrontaient des hommes. Des chars affrontaient des chars. Les Arméniens de l’Artsakh (nom arménien du Haut-Karabakh) jouaient leur peau à un contre dix, mais la guerre ressemblait à la guerre. David avait une chance contre Goliath et David avait gagné. Mais trente ans plus tard, que peut David contre des drones transportant des bombes de 500 kilos ? Contre un déluge de feu qui s’abat du ciel et répand la terreur sans que l’on sache d’où il vient ? « Nous avons combattu un ennemi invisible », disent les Arméniens.

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