Philippe de Villiers : «C’est au virus islamiste qu’il faut faire la guerre»


Tout est hors de contrôle: le Covid, le terrorisme. Emmanuel Macron court derrière, il court après les mots, après les morts, martial, impuissant. Le champ lexical utilisé depuis le printemps - «Nous sommes en guerre» - apparaît aujourd’hui comme une outrance et un terme inapproprié: l’épidémie court toujours et les terroristes aussi. Affleure dans la tête des Français, désemparés, l’idée que le pays n’est pas gouverné et que l’État est aux mains d’une bande d’amateurs.

L’impéritie des autorités, censées mener deux guerres à la fois, affleure dans le traitement différentiel des deux virus. Il y en a un qui relève de la sécurité sanitaire. Pour protéger la population de cet ennemi viral, on a choisi de nous enfermer, de nous assigner à résidence. Faute de boucler les frontières nationales, on réinstaure la frontière domestique. On prend des mesures liberticides, on met à plat l’économie, on déchire les tissus conjonctifs de la France industrieuse parce qu’on considère que la protection sanitaire est plus importante encore que toutes les libertés ; puis on annonce, en quinze jours, en puisant dans la même panoplie belliqueuse, d’abord le couvre-feu - qui est un confinement de nuit - ensuite le confinement qui est un couvre-feu de jour, jamais pratiqué, même en 40.

https://pourunenouvellerepubliquefrancaise.blogspot.com/https://grandeschroniquesdefrance.blogspot.com/https://parolesdevangiles.blogspot.com/https://raymondaronaujourdhui.blogspot.com/

#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police