États-Unis : quand l'hystérie anti-police de Black Lives Matter débouche sur une hécatombe de jeunes Afro-Américains - Par Xavier Raufer


Dans le sillage du mouvement Black Lives Matter et de la pandémie de Covid-19, le chiffre des homicides est reparti à la hausse aux Etats-Unis de manière inquiétante, selon les données de la "National Commission on Covid-19 and criminal justice" (Council on criminal justice). Le taux d'homicides a bondi de manière spectaculaire à New York, Chicago et Los Angeles pour l'année 2020.


L'anarchisme est sans conteste le pire avortement de l'histoire des idées politiques : rien d'anarchiste n'a jamais socialement prospéré. A chaque fois, un désastre - même quand l'anarchie (au sens original d'absence de gouvernement) est involontaire, ou subie.

Exemple criminologique classique : le (pourtant paisible) Danemark. À l'aube du 19 septembre 1944, l'armée d'occupation allemande va coffrer toute la police danoise, qui fait de la résistance. Sur quelque 10 000 policiers, 1 700 sont déportés en Allemagne ; les trois-quarts sont cachés par des Danois ou fuient en Suède. D'où, plus de police. Vols, viols, etc. : une vague de criminalité ravage alors le Danemark.

Même cause, mêmes effets, dans les États-Unis de 2020, avec virulente prolongation au début de 2021 : les faits, chiffres et preuves.

D'abord, la "progressiste"-médiatique crise d'hystérie anti-police qui en 2020, déferle sur ce pays. Exemple, l'éditorial halluciné du New York Times du 12 juin 2020 "Oui, littéralement, abolissons la police". Ainsi de suite, de la Californie à la frontière canadienne.

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