«La dette, qu’il faudra bien payer, prive la France de sa capacité d’action politique» - Par Édouard Tétreau

Prétendre ne pas rembourser la dette publique française est une illusion. En s’endettant «quoi qu’il en coûte», notre pays se place dans un état de vulnérabilité, s’alarme l’essayiste Édouard Tétreau.


«Quoi qu’il en coûte» aux générations futures. Alors que la France s’installe dans le peloton de queue des pays développés en termes de population vaccinée (30e), elle vient de rejoindre, avec moins de publicité, le haut d’un classement particulièrement infamant: celui des pays les plus surendettés au monde.

Avec une dette publique supérieure à 120 % de notre richesse nationale (PIB), nous sommes désormais dans la même ligue que le Venezuela, le Soudan, la Grèce, le Liban, l’Érythrée, l’Italie, le Cap-Vert, le Mozambique. Ajoutons à cette liste l’exception japonaise (240 % de dette par rapport au PIB, mais les Japonais détiennent plus de 90 % de leur propre dette publique, contrairement à nous) ; les États-Unis qui bénéficient du «privilège exorbitant» du dollar, monnaie de réserve mondiale que nous sommes obligés d’acheter ; et la Belgique et l’Espagne qui viennent aussi de rejoindre ce classement du fait de la dette du Covid.

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