Sophie Coignard – Les Verts les plus bêtes du monde (I et II)

Les maires écologistes semblent plus prompts à afficher des inclinations idéologiques préoccupantes qu’à démontrer leur capacité à gérer.


Dans les années 1950, le socialiste Guy Mollet avait eu cette formule qui a connu un grand et durable succès : « la droite la plus bête du monde ». Souvent décrite, depuis, comme imbattable pour actionner la « machine à perdre », la droite semble aujourd'hui coiffée au poteau par Europe Écologie-Les Verts (EELV).

Pourtant, après un score remarqué aux européennes, tout semblait sourire à ce mouvement. L'an dernier, dans plusieurs grandes villes de l'Hexagone, une majorité d'électeurs a décidé d'accorder ses suffrages aux écologistes. Une immense surprise. Une chance historique pour un parti dont les candidats ont toujours subi des revers aux élections qui ne sont pas régies par le scrutin proportionnel : la présidentielle, les municipales, et les législatives quand le Parti socialiste ne leur gardait pas quelques circonscriptions au chaud.

Marseille, Lyon, Bordeaux, Strasbourg, quatre des dix plus grandes villes de France leur donnaient ainsi une occasion en or de démontrer leur capacité à gérer des métropoles importantes. Un an après le premier tour des municipales, le bilan est plus que décevant.


Les Verts les plus bêtes du monde (suite)

CHRONIQUE. La comparaison avec les écologistes allemands et leur dirigeante n’est pas à l’avantage de Julien Bayou, gaffeur et idéologue à la fois.


En Allemagne, la codirigeante des Verts, Annalena Baerbock, est la tête de liste de son parti aux prochaines élections législatives. Les sondages la désignent comme un poids lourd du futur gouvernement, vice-chancelière, pourquoi pas chancelière, puisque sa liste arriverait en deuxième, voire en première position à l'issue du scrutin, qui se roule à la proportionnelle. En France, son homologue se nomme Julien Bayou, secrétaire national d'Europe Écologie-Les Verts (EELV). On n'ose imaginer, pour le bien du pays, qu'il puisse un jour occuper lui aussi une fonction régalienne au sein de l'exécutif.

Après la décision de la Cour de cassation confirmant l'irresponsabilité du meurtrier de Sarah Halimi, il a déclaré : « Je comprends l'émoi de la communauté juive, mais on doit conserver ce principe “On ne juge pas les fous”. […] La justice, ce n'est pas la vengeance. » Julien Bayou, donc, raisonne en termes de « communauté ». Il n'a pas compris que ce sont les Français, dans leur immense majorité, qui sont indignés par cette absence de procès et de verdict.

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