Remplacer une forêt par une centrale solaire : un paradoxe - Par Sébastien Richet

Pour la construction d’une centrale solaire, les décideurs sont prêt à raser une forêt. Une politique écologique paradoxale.


Pour installer 1000 MW de cellules photovoltaïques, les professionnels de la subvention à tout-va n’hésitent pas à sacrifier 1000 hectares de forêts (oui, vous avez bien lu, soit 10 km2 de forêts) pour la modique somme d’un milliard d’euros par Engie et Neoen.

On compare ce champ de cellules à un réacteur nucléaire de puissance équivalente qui tourne à plein régime 90 % du temps. Sachant que l’efficacité de fonctionnement du solaire dans cette région est en moyenne de 25 %, la production est donc du quart. Dit autrement, le réacteur fait quatre fois mieux, sans compter que la surface consommée par le réacteur est beaucoup plus faible (quelques hectares).

On commence à douter de l’installation et des effets d’annonce (630 000 foyers équivalents – ceux qui se chauffent au gaz ?).

La production potentielle d’hydrogène et ses très généreuses dotations (ne souriez pas, ce sont vos impôts) est adjointe au projet pour en augmenter la rentabilité, sachant que les usines à hydrogène les plus performantes seront associées à des réacteurs nucléaires pour pouvoir produire de manière constante, condition sine qua non d’une bonne productivité.

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