Le privé et les impôts : les vaches à lait face aux vaches sacrées - Par Olivier Barrat
L’Histoire nous apprend que la servilité fiscale du peuple français s’avère presque sans limite. Nous sommes un pays écrasé d’impôts et qui ne se révolte pas. Il nous est expliqué que cette prédation massive des richesses par l’Etat serait nécessaire au nom des exigences de la justice sociale et du besoin de financement des services publics. Chacun peut cependant constater que ce discours tient de la fable. Comment expliquer, sinon, qu’avec un tel niveau de prélèvements obligatoires nous ayons aujourd’hui plus de neuf millions de pauvres, une école publique et des hôpitaux en quasi ruine, une justice et une police à l’agonie[une armée à l'os] ?
L’impôt est une forme moderne de servage
L’impôt constitue, en France, un système de pouvoir au service d’une gigantesque oppression, par laquelle une caste tient sous sa botte une nation tout entière. Il s’agit ni plus ni moins que d’une forme moderne de servage drapée dans les apparences d’une démocratie. Le secteur privé sert de vache à lait, écrasé sous la tyrannie fiscale, condamné à nourrir les vaches sacrées de notre oligarchie. L’Etat finance une série innombrable de rentes, de privilèges et d’injustices avec l’argent du contribuable. Les profiteurs sont structurés en administrations, en organismes divers, en syndicats, en partis et en associations de toute nature, captant à leur avantage les ressources publiques. Ils maquillent l’opération en prétendant agir au nom de l’intérêt général. Ils mentent sans vergogne. Ils ont ainsi transformé des idéaux de solidarité pour en faire les faux nez d’un « hold-up » permanent. Le socialisme, la social-démocratie, le progressisme ne servent plus aujourd’hui que d’alibi au racket des populations.
L’impôt constitue, en France, un système de pouvoir au service d’une gigantesque oppression, par laquelle une caste tient sous sa botte une nation tout entière. Il s’agit ni plus ni moins que d’une forme moderne de servage drapée dans les apparences d’une démocratie. Le secteur privé sert de vache à lait, écrasé sous la tyrannie fiscale, condamné à nourrir les vaches sacrées de notre oligarchie. L’Etat finance une série innombrable de rentes, de privilèges et d’injustices avec l’argent du contribuable. Les profiteurs sont structurés en administrations, en organismes divers, en syndicats, en partis et en associations de toute nature, captant à leur avantage les ressources publiques. Ils maquillent l’opération en prétendant agir au nom de l’intérêt général. Ils mentent sans vergogne. Ils ont ainsi transformé des idéaux de solidarité pour en faire les faux nez d’un « hold-up » permanent. Le socialisme, la social-démocratie, le progressisme ne servent plus aujourd’hui que d’alibi au racket des populations.