Ces risques pour la santé humaine ET pour l’environnement que représentent ces réglementations ENVIRONNEMENTALES poussées par les écologistes
L’article d’Atlantico s’appuie sur les analyses de Samuel Furfari, Alexandre Baumann et André Heitz. Les auteurs dénoncent les effets délétères des réglementations écologistes en Europe. Ils avancent que ces politiques, fondées sur une idéologie simpliste et parfois aveugle aux réalités, ont des conséquences négatives sur la santé humaine, la biodiversité, la sécurité alimentaire, le logement, et même sur la résilience climatique.
- Samuel Furfari est professeur en géopolitique de l’énergie depuis 20 ans, docteur en Sciences appliquées (ULB), ingénieur polytechnicien (ULB). Il a été durant trente-six ans haut fonctionnaire à la Direction générale de l'énergie de la Commission européenne.
- Alexandre Baumann est auteur de sciences sociales et sur de nombreux autres sujets (Antéconcept, Agribashing, Danger des agrégats, Cancer militant).
- André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.
Énergie et précarité
La fermeture de centrales nucléaires, sous la pression anti-nucléaire écologiste, a provoqué des milliers de morts indirects en raison de la hausse des prix de l’électricité. L’exemple du Japon post-Fukushima est un révélateur : l’abandon du nucléaire y a causé au moins 1 280 décès annuels par manque de chauffage. En Europe, les pays baltes et certaines régions du Royaume-Uni ont connu une “précarité énergétique” dramatique. Les écologistes ont freiné le développement des petits réacteurs modulaires et affaibli l’économie industrielle européenne, avec un impact social sous-estimé.
Santé et climatisation
Le manque de climatisation dans les hôpitaux et EHPAD est une négligence fatale. Plusieurs études montrent que l’air conditionné aurait pu sauver des centaines de vies lors des vagues de chaleur. Les normes et choix politiques hostiles à la climatisation ont favorisé une vision élitiste où seuls les milieux privilégiés y ont accès.
Agriculture et alimentation
Les politiques anti-pesticides et pro-bio sont critiquées pour leur naïveté et leurs risques sanitaires. Les auteurs rappellent l’affaire des graines de fenugrec bio contaminées en Allemagne, qui a causé des dizaines de morts. Les rendements du bio étant deux fois moindres que ceux du conventionnel, la sécurité alimentaire peut être compromise à grande échelle.
Biodiversité et énergie renouvelable
Les éoliennes et les panneaux solaires ont un impact sur la faune. Les morts d’oiseaux et les nuisances visuelles sont minimisées par les écologistes au nom du dogme des énergies vertes. De plus, la surprotection de certains animaux comme les loups, sangliers et renards rend leur régulation difficile, voire impossible, provoquant des nuisances croissantes en milieu rural et urbain.
Logement et territoires
L’interdiction de louer des “passoires thermiques” va aggraver la crise du logement, notamment dans les grandes villes. De même, les normes sur l’entretien des cours d’eau ont entravé des opérations préventives essentielles, contribuant à l’intensité des inondations. L’abandon du pastoralisme, combiné à la réduction des pratiques agricoles, doit être mis en cause dans la multiplication des incendies dans les zones rurales.
Eau, gestion et idéologie
L’interdictions des “bassines”, la complexification administrative du curage des rivières, et l’opposition aux barrages hydroélectriques sont des obstacles au bon sens. Les auteurs dénoncent un retour à des pratiques archaïques sous couvert d’écologie, alors que des technologies existent pour concilier environnement et progrès.
Bref, les politiques écologistes adoptées en Europe depuis deux décennies ont causé des dommages considérables. Samuel Furfari, Alexandre Baumann et André Heitz appellent à une refonte complète de ces stratégies, fondée sur une vision réaliste, scientifique et humaniste — loin des utopies décroissantes qui enferment l’Europe dans le déclin.
Certaines réglementations environnementales se retournent contre la santé humaine… et parfois contre l’environnement lui-même. À force de normes strictes, d’interdictions précipitées et de visions idéologiques, les mesures écologistes les plus radicales génèrent parfois plus de mal que de bien. Passage en revue.
Lire l'article ICI
Santé et climatisation
Le manque de climatisation dans les hôpitaux et EHPAD est une négligence fatale. Plusieurs études montrent que l’air conditionné aurait pu sauver des centaines de vies lors des vagues de chaleur. Les normes et choix politiques hostiles à la climatisation ont favorisé une vision élitiste où seuls les milieux privilégiés y ont accès.
Agriculture et alimentation
Les politiques anti-pesticides et pro-bio sont critiquées pour leur naïveté et leurs risques sanitaires. Les auteurs rappellent l’affaire des graines de fenugrec bio contaminées en Allemagne, qui a causé des dizaines de morts. Les rendements du bio étant deux fois moindres que ceux du conventionnel, la sécurité alimentaire peut être compromise à grande échelle.
Biodiversité et énergie renouvelable
Les éoliennes et les panneaux solaires ont un impact sur la faune. Les morts d’oiseaux et les nuisances visuelles sont minimisées par les écologistes au nom du dogme des énergies vertes. De plus, la surprotection de certains animaux comme les loups, sangliers et renards rend leur régulation difficile, voire impossible, provoquant des nuisances croissantes en milieu rural et urbain.
Logement et territoires
L’interdiction de louer des “passoires thermiques” va aggraver la crise du logement, notamment dans les grandes villes. De même, les normes sur l’entretien des cours d’eau ont entravé des opérations préventives essentielles, contribuant à l’intensité des inondations. L’abandon du pastoralisme, combiné à la réduction des pratiques agricoles, doit être mis en cause dans la multiplication des incendies dans les zones rurales.
Eau, gestion et idéologie
L’interdictions des “bassines”, la complexification administrative du curage des rivières, et l’opposition aux barrages hydroélectriques sont des obstacles au bon sens. Les auteurs dénoncent un retour à des pratiques archaïques sous couvert d’écologie, alors que des technologies existent pour concilier environnement et progrès.
Bref, les politiques écologistes adoptées en Europe depuis deux décennies ont causé des dommages considérables. Samuel Furfari, Alexandre Baumann et André Heitz appellent à une refonte complète de ces stratégies, fondée sur une vision réaliste, scientifique et humaniste — loin des utopies décroissantes qui enferment l’Europe dans le déclin.
Laurent Sailly
Samuel Furfari, Alexandre Baumann et André Heitz
Ces risques pour la santé humaine ET pour l’environnement que représentent ces réglementations ENVIRONNEMENTALES poussées par les écologistes
Certaines réglementations environnementales se retournent contre la santé humaine… et parfois contre l’environnement lui-même. À force de normes strictes, d’interdictions précipitées et de visions idéologiques, les mesures écologistes les plus radicales génèrent parfois plus de mal que de bien. Passage en revue.
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