Comment le GIEC a enterré la période chaude médiévale - Par Dr Matthew Wielicki


Le mot de Méchant Réac ® - Par Laurent SAILLY

Chaque année, de nouveaux records de température sont annoncés, suggérant un chaos climatique inédit. Les gros titres affirment que l'humanité vit les périodes les plus chaudes depuis 125 000 ans. Cependant, ces affirmations manquent souvent de contexte. Le GIEC est accusé d’omettant des extrêmes climatiques historiques pour soutenir des conclusions alarmistes. Par exemple, les méga sécheresses historiques, comme celle de Cantona au Mexique, sont souvent ignorées. De même, la période de réchauffement climatique médiévale (PRM), reconnue mondialement, est minimisée. Une étude récente en Antarctique montre que la PRM était plus chaude qu'aujourd'hui, même avec des niveaux de CO₂ stables. Il n'y a aucune preuve d'eau de fonte actuelle sur le glacier étudié, contrairement à il y a mille ans. Ces omissions soulèvent des questions sur la fiabilité des évaluations climatiques actuelles.

Comment le GIEC a enterré la période chaude médiévale
Et pourquoi cela continue de prouver que le réchauffement actuel n’est ni unique ni contre nature

Chaque année, de nouveaux records de température sont annoncés avec fracas, comme si la planète s’enfonçait dans un chaos climatique inédit. Les gros titres des journaux annoncent des choses comme :

« L’humanité vient de vivre les 12 mois les plus chauds depuis au moins 125 000 ans »
ou
« Cette année sera presque certainement la plus chaude depuis 125 000 ans, selon les scientifiques de l’UE » .

On nous dit, souvent sans contexte ni nuance, que le réchauffement que nous connaissons est sans précédent depuis des centaines de milliers, voire des millions d’années.


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