Henri Guaino : « Le procès du financement libyen, un coup d’État judiciaire contre la séparation des pouvoirs »



Le mot de Méchant Réac® - Par Laurent SAILLY

Henri Guaino dénonce dans Le Figaro une dérive grave du système judiciaire français à travers la condamnation de Nicolas Sarkozy dans l’affaire du financement libyen. En effet, le jugement repose sur un faisceau de présomptions sans preuves directes, consacrant une présomption de culpabilité inquiétante. C’est l’aboutissement d’une idéologie de dépolitisation où les juges s’arrogent un pouvoir moral, au détriment de la séparation des pouvoirs. Le procès, qui juge des actes de politique étrangère, marque un basculement historique : la justice empiète sur le domaine réservé de l’exécutif. Il compare cette condamnation à un sacrifice symbolique visant à désacraliser la fonction présidentielle et à installer un nouveau pouvoir judiciaire dominant. Ce glissement vers une justice idéologique menace, l’État de droit, la démocratie et le consentement à l’autorité judiciaire, en instaurant durablement le procès sans preuve.

Henri Guaino
« Le procès du financement libyen, un coup d’État judiciaire contre la séparation des pouvoirs »

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