« L’idéologie du genre est un délire absolu, une erreur et un mensonge » - Par María Calvo
Le mot de Méchant Réac® - Par Laurent SAILLY
Dans un entretien avec Epoch Times, María Calvo, juriste et écrivaine espagnole, analyse la crise de la famille traditionnelle en Espagne, qu’elle attribue à la révolution culturelle de 1968.
Cette période, dit-elle, a promu une vision de la liberté féminine détachée des rôles matrimoniaux et maternels, influencée par des penseurs comme Simone de Beauvoir. Elle critique le féminisme radical qui aurait présenté le mariage et la maternité comme des formes d’oppression, conduisant à une solitude croissante chez les femmes et à une consommation élevée d’anxiolytiques.
Maria Calvo déplore une législation espagnole qu’elle juge défavorable aux hommes, notamment en matière d’avortement et de congé parental, où la figure paternelle serait effacée. Elle affirme que la famille ne peut exister sans mariage entre un homme et une femme, soulignant la complémentarité des rôles parentaux dans l’éducation des enfants. Elle insiste sur l’importance de la différence sexuelle comme fondement anthropologique et éducatif.
La famille, poursuit-elle, est un lieu d’amour inconditionnel, d’acceptation des imperfections et de transmission de valeurs humaines. Elle défend le modèle de famille stable et nombreuse comme solution au déclin démographique et à la fragmentation sociale. Le mariage est présenté comme un engagement durable, source de cohésion et de bonheur pour les enfants. Enfin, elle appelle à revaloriser le couple comme noyau central de la famille, en rétablissant une hiérarchie symbolique où les enfants ne sont pas au sommet, mais intégrés dans un ordre affectif structurant.
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Cette période, dit-elle, a promu une vision de la liberté féminine détachée des rôles matrimoniaux et maternels, influencée par des penseurs comme Simone de Beauvoir. Elle critique le féminisme radical qui aurait présenté le mariage et la maternité comme des formes d’oppression, conduisant à une solitude croissante chez les femmes et à une consommation élevée d’anxiolytiques.
Maria Calvo déplore une législation espagnole qu’elle juge défavorable aux hommes, notamment en matière d’avortement et de congé parental, où la figure paternelle serait effacée. Elle affirme que la famille ne peut exister sans mariage entre un homme et une femme, soulignant la complémentarité des rôles parentaux dans l’éducation des enfants. Elle insiste sur l’importance de la différence sexuelle comme fondement anthropologique et éducatif.
La famille, poursuit-elle, est un lieu d’amour inconditionnel, d’acceptation des imperfections et de transmission de valeurs humaines. Elle défend le modèle de famille stable et nombreuse comme solution au déclin démographique et à la fragmentation sociale. Le mariage est présenté comme un engagement durable, source de cohésion et de bonheur pour les enfants. Enfin, elle appelle à revaloriser le couple comme noyau central de la famille, en rétablissant une hiérarchie symbolique où les enfants ne sont pas au sommet, mais intégrés dans un ordre affectif structurant.
María Calvo
« L’idéologie du genre est un délire absolu, une erreur et un mensonge »
