Migrants: "Tout le monde il est beau,tout le monde il est gentil"
A force de nier
qu’il n’y a pas en France de problèmes avec l’immigration, par lâcheté au
niveau politique et par bien-pensance au niveau d’un lobbying d’intellectuels
(journalistes et autres) qui n’ont jamais mis les pieds dans une cité de
banlieue, nous nous retrouvons face à des réactions d’indifférences et de
mépris de nos concitoyens, qui me glacent le sang !
Que font nos
dirigeants ? Le président Hollande est à la remorque de la chancelière Merkel.
Le premier ministre Valls envoie des tweets dans lequel il appelle à l’action
(j’en crois pas mes yeux, ce n’est pas pour ça qu’on le paye ?????). Les présidents
des assemblées sont muets. Dans la majorité aucun leader ne semble vouloir
prendre la parole. Quant à la droite, elle est en dessous de tout !
Il faut
expliquer aux Français que les migrants sont à nos portes.
Il faut expliquer
qui ils sont et quelles suites seront données à leurs demandes. Migrants pour
des raisons politiques, les « réfugiés politiques » à qui la France doit
le droit d’asile. Migrants pour des raisons de guerre, les « exilés pour
faits de guerre », qu’il faut accueillir provisoirement dans des centres
adaptés dans l’attente de les renvoyer chez eux une fois la situation apaisée.
Migrants pour des raisons économiques, qui doivent être reconduits au-delà des
frontières de l’Europe Schengen, suivant la législation relative aux
clandestins.
Il faut
reconnaître qu’il y a un problème avec l’immigration en France. Que ce problème
n’est pas exclusivement du fait des Français qui n’auraient pas su assimiler
ces immigrés. Il faut clairement établir le diagnostic selon lequel grand
nombre d’étrangers n’a pas su intégrer les valeurs de la République. Notamment,
la religion n’a pas à s’exprimer dans la rue. La rue est un lieu public et
laïc. Aucun signe extérieur d’appartenance religieuse ou politique ne doit
transparaître dans la rue.
Il faut
reconnaître qu’il y a un problème sécuritaire (ou tout au moins un sentiment d’insécurité)
en France. Il faut refaire descendre les policiers dans les rues de la
République et cesser de les noyer dans des éléments de procédures futiles ou
des gardes fixes inutiles. Il faut multiplier les peines de travaux d’intérêt
général dans le cadre d’une politique « tolérance zéro », en lieu et
place de peines de prisons avec sursis qui n’impressionnent personne et des
peines fermes qui ne sont pas exécutées.
C’est la seule solution
pour que nos concitoyens acceptent la politique de quotas que j’appelle de tous
mes vœux et pour barrer la route au Front National. Cette solution exige de
nos politiques du courage et de la franchise. Cette solution nécessite de la
part de « l’intelligentsia » médiatique du réalisme et de l’honnêteté.