Nicolas Machiavel "Le Prince" (1532) : Contre l'influence politique du christianisme - Par Guillaume Perrault


"J'aime ma patrie plus que mon âme", écrit Machiavel peu avant sa mort, en juin 1527. La patrie de l'auteur du Prince, c'est Florence. Le républicain signifiait, par cette formule, qu'il plaçait la liberté de sa cité au-dessus de la morale individuelle et de la foi. C'est ce qu'expose ici Guillaume Perrault.

Œuvre collective : De Platon à Soljenitsyne, revenir aux sources de la pensée politique (mechantreac.blogspot.com)

GUILLAUME PERRAULT, ancien élève de khâgne au lycée Henri-IV, diplômé de Sciences Po, est rédacteur en chef de FigaroVox et maître de conférences à Sciences Po.


Traité politique écrit au début du XVIe siècle par Nicolas Machiavel, homme politique et écrivain florentin, qui montre comment devenir prince et le rester, analysant des exemples de l'histoire antique et de l'histoire italienne de l'époque. Parce que l'ouvrage ne donnait pas de conseils moraux au prince comme les traités classiques adressés à des rois, et qu'au contraire il conseillait dans certains cas des actions contraires aux bonnes mœurs, il a été souvent accusé d'immoralisme, donnant lieu à l'épithète machiavélique. Cependant, l'ouvrage a connu une grande postérité et a été loué et analysé par de nombreux penseurs.
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