La religion écologiste - De Christian Gérondeau


La température moyenne de la planète a augmenté d’environ 1°c depuis un siècle et demi. Selon le GIEC, la cause principale de cette hausse serait le CO d’origine humaine et, pour sauver notre terre d’une catastrophe imminente, il faudrait donc faire baisser nos émissions de CO2.

C’est avec cette conviction que la Convention Citoyenne sur le Climat s’est fixée comme objectif de réduire de 40 % nos émissions nationales. Un effort énorme pour la France (et un coût faramineux) mais qui ne correspond pourtant qu’à 0,25 % des émissions mondiales. Car ce ne sont plus les pays développés qui comptent, mais l’Inde, la Chine, et demain l’Afrique qui ont tous un besoin vital de pétrole, de gaz naturel et de charbon pour sortir leurs populations de la pauvreté comme nous l’avons fait nous-mêmes. Les projections officielles de ces pays montrent ainsi que les émissions mondiales de CO2 vont inexorablement continuer à croître.

Faut-il alors craindre la catastrophe ? Non. Il y avait 4 fois plus de CO2 dans l’atmosphère au temps des dinosaures et tout allait bien. Si nous avons peur, c’est parce qu’on nous fait peur car la peur fausse le jugement. Et les tenants d’une vision négative de l’humanité, qui dominent depuis un demi-siècle à l’ONU, le savent bien.

Pourtant, il ne devrait s’agir là que de science. L’Homme peut-il agir sur le climat ? En scientifique et sur la base des propres chiffres du GIEC, Christian Gerondeau montre qu’il n’en est rien. Cessons de trembler et utilisons notre raison.




NOTE DE LECTURE DE ALAIN MATHIEU (IREF)

La semaine dernière, le livre récent de Steven Koonin, conseiller climat d’Obama et climatologue réputé, a été ainsi résumé par l’IREF : les modèles informatiques utilisés par le GIEC pour prévoir le climat sont trop loin de la réalité, et trop dépendants d’hypothèses arbitraires, pour être fiables ; l’influence des émissions humaines de CO2 sur le climat est, et restera, faible ; chercher à réduire ces émissions, c’est poursuivre une « chimère ».
Dans son livre Steven Koonin ne répondait pas à la question : pourquoi ces vérités sont-elles ignorées de tous les media et de la quasi-totalité des dirigeants politiques ?
Le livre de Christian Gérondeau y répond avec maestria.

Pour lui, les dirigeants du GIEC ont lancé des « appels ouverts » aux scientifiques du monde entier pour qu’ils leur soumettent des « scénarios » informatiques d’évolution du climat. Ils ont publié les résultats de 164 scénarios, et choisi le scénario le plus extrême. Ils ont conclu que, sans intervention pour les réduire, les émissions humaines de CO2 causeront un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre. Ils ont proposé une solution pour les réduire : « Il serait possible que près de 80 % de l’approvisionnement énergétique mondial soient assurés par les énergies renouvelables en 2050 » (communiqué du 9 mai 2011). Depuis lors, cette conclusion et cette solution sont considérées comme paroles d’Evangile par les media. Elles sont la base de l’Accord de Paris de 2015 et des politiques appliquées par les pays développés.

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