« T’es blanc, t’es raciste, t’es pas blanc, t’es racisé » : le communautarisme n’est rien d’autre qu’un racisme antiblanc. Il faut l’interdire !

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Le syndicat SUD Education 93 organise des ateliers antiracistes interdits aux Blancs.

Dans l’édito du document de présentation, le syndicat d’enseignants dénonce le « racisme d’État dans la société et en particulier dans l’Éducation nationale » :

1.    Des programmes d’histoire au service du « roman national »

2.    L’orientation instrumentalisé des « élèves issu-e-s des immigrations en particulier post-coloniales » dans les filières professionnelles.

3.    Et pêlemêle l’islamophobie, l’ « instrumentalisation de la laïcité », les « politiques migratoires durcies qui concernent de nombreux élèves et leurs familles », les « violences policières qui touchent les élèves à l’extérieur et dans l’école »…

Trois plénières sont organisées :

1.    Lors de la première assemblée, les participants sont invités à s’interroger en quoi les élèves sont « racisé-es » et comment établir « un enseignement spécifique pour nos élèves héritier-es d’un passé colonial et de l’immigration. » »

2.    La deuxième réunion pose la question de la compatibilité de la défense de la laïcité dans l’éducation nationale et la lutte contre l’islamophobie.

3.    La dernière des conférences porte sur « les inégalités et les discriminations ethnoraciales à l’Ecole ». Il s’agit pour les participants d’ « aborder la question des ségrégations et des discriminations ethnoraciales, du territoire à la salle de classe » et de se demander « notamment si les inégalités scolaires observées sont construites uniquement à l’extérieur de l’école, ou bien également en son sein, à travers le fonctionnement institutionnel et les pratiques enseignantes qui participeraient alors à leur (re)production ».

Lors d’un atelier, les participants s’interrogeront : « Qu'est-ce que la « blanchité » ? Qui qualifie-t-on de personnes « racisé.e.s » ? Qu'est-ce qu'un privilège ? Qu'est-ce que le racisme d’État ? Quels concepts sont utilisés pour parler des racismes spécifiques (islamophobie, negrophobie, romophobie...) ? » Cet atelier propose d’étudier « ce système hiérarchique est le fruit de plusieurs années de colonisation et d'esclavage qui donnent lieu à des privilèges pour certain.e.s au détriment d' oppressions pour d'autres ».

Dans deux autres ateliers, les « enseignant.e.s blanc.he.s » sont invitées à faire leur autocritique alors que les « enseignant.e.s non-blanc.he.s » sont appelés à se réunir « entre nous ».

AFFLIGEANT !

Allons-nous tolérer encore longtemps ces groupuscules d’extrême-gauche, notamment les Indigènes de la Républiques, dont les valeurs ne sont pas compatibles avec les valeurs de la République, et pourtant qui ont investi La France Insoumise.

Ces groupements remettent en cause toutes les mixités et pratique un racisme anti-blanc, un racisme anti-vivre ensemble ! Ce programme du syndicat SUD Education 93 fait suite à de nombreuses autres manifestations de ce genre. Ainsi à l’été 2016, le site ce-decolonial.org organisait « camp d'été décolonial » se présentant comme une « formation à l'antiracisme politique », un stage de quatre jours « dans la tradition des luttes d'émancipations décoloniales anti-capitalistes et d'éducation populaire », et interdit aux blancs. A la fin du printemps dernier devait se tenir à Paris une fête quelque peu racialisée elle aussi.

Ce matin, Pascal Péri, dans l’émission « Les Grandes Gueules » sur RMC (10h-13h) révélait la tenue d’une conférence à l’Université de Limoge (établissement public d’Etat) avec Houria Boutedjla, porte-parole des Indigènes de la République, auteur de « Les Blancs, les Juifs et Nous » et qui, dans une vidéo avait déclarée « Je suis Mohammed Mehra ». A noter que les liens du site de cette université menant à cette conférence ont été supprimés : Séminaire Etudes décoloniales ; Débat avec Houria Boutedjela.
Ces communautaristes cherchent à dissimuler ainsi leur propre médiocrité. Ce qu’ils veulent c’est lutter contre la méritocratie et la sélection au profit d’une politique de quotas. Il sert aussi un antisémitisme latent dans ses milieux :
Il faut dire que les Ashkénazes sont blancs, ce qui fait d’eux les justes cibles de Houria Bouteldja, des Indigènes du PIR et des amis d’Edwy Plenel (quant aux Séfarades, qui appartiennent au même cadre ethnique que les musulmans du Maghreb et du Machrek, leur sort n’est pas clair…). D’ailleurs, Pierre Tevanian, qui est l’un des plus purs représentants de cet ethno-gauchisme compagnon de route des extrémismes les plus répugnants, animera un autre atelier sur « le racisme et les privilèges dans l’Education nationale ». C’est ce qu’on t’a appris à l’ENS, petit Pierre ? Gare au loup !"
(in « Atelier en non-mixité raciale » publié le 20 novembre 2017 par Jean Paul Brighelli)

La République n’a jamais demandé la négation des origines de ses citoyens, la République ne nie pas les erreurs du passé. Mais la République doit nous unir. Les communautaristes d’extrême-gauche poussent à la division.

Le racisme doit être combattu comme le communautarisme ! L’un comme l’autre il ne constitue pas une idéologie et doivent être sévèrement réprimés.

© Laurent SAILLY pour Méchant Réac ! ®




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