L'équation "migration + radicalisation + djihad" annonce un désastre à venir.

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Partout dans le monde l’islam s'impose sur nos reculs, nos lâchetés, notre ignorance, nos incompétences, notre distraction. Lors d’un diner débat auquel je participais, je fus marqué par l’un des convives, un algérien qui avait vécu en Algérie pendant la « décennie noire » et qui déclara : « Je retrouve dans la France des années 2010 ce qu’était l’Algérie des années 90 ». Les gens qui, au début, s'émouvaient pour une victime du terrorisme ont fini après quelques mois de carnage par ne ressentir d'émotion que lorsque le nombre des victimes par jour dépassait la centaine. Il en résultat que plus les islamistes gagnaient de terrain et redoublaient de cruauté, moins les gens réagissaient, anesthésiés par l’habitude, paralysés par la terreur.

Trois phénomènes sont à distinguer.

Le premier est l'islamisme, ou l'islam politique, qui est clairement dans une démarche de conquête des territoires, de quartiers.

Le deuxième est l'islamisme djihadiste, qui a pour vocation de «punir», son but est la destruction d'une civilisation honnie.

Le troisième est l'expansion culturelle, puissamment soutenu par les pays musulmans et les grandes organisations islamiques (OCI, LMI) et dont le but est l'enracinement de l'islam sunnite en Europe.

En France, seuls les services de sécurité ont conscience du danger mais ne semblent pas convaincre le pouvoir politique de la nécessité de prendre le problème en charge dans toutes ses dimensions. Macron a montré au cours de la campagne présidentielle qu'il ne connaissait pas le problème numéro un de la France. Les Français sont encore au stade de la peur : on ne leurs parle que du terrorisme et encore, seulement au moment des attentats.

La peur de l'islam rétrograde et intolérant est à la source l'islamophobie notamment en France. Il s’agit d’une réaction instinctive. Combattre l'islamophobie ne passe pas par la dénonciation de l'islamophobie, mais par la victoire sur l'islamisme et le communautarisme, et par la pacification de l'islam dans le cadre des lois de la République.

L'équation migration + radicalisation + appels au djihad annonce un désastre à venir.

Avec la fin de Daesh, les migrants syriens vont pouvoir retourner chez eux et reconstruire leur pays. Le problème des migrants africains et maghrébins ne trouvera pas de solution tant que leurs pays seront ruinés par l'islamisme, la corruption et la violence des dirigeants.

Il faut durcir nos relations avec les dirigeants africains qui ne font rien pour l’avenir de leur peuple. Les pays européens doivent revenir sur l’inconséquence de l’ouverture des frontières qui vident les pays d’origines de leurs forces vives, offre un terreau favorable au populisme et au nationalisme, développe les réseaux de passeurs et d’esclavagistes. Sans compter sur cette génération de jeunes rejetés par leur pays et par l’Europe qui basculera un jour dans la violence.

Il faut relancer la coopération Europe-Afrique sur des bases nouvelles. L’Afrique connaît une croissance moyenne de 5 % par an, mais elle n'est pas homogène sur tout le continent. L'énergie est un préalable à tout développement. Aujourd’hui 650 millions de personnes vivent sans accès à l’électricité sur le continent et ce chiffre est susceptible de croître de manière significative, la population africaine devant doubler d’ici 2050. Le projet Borloo répond à cettepréoccupation. Il faut s’en occuper.
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