Lutte contre la délinquance : exigeons un plan "Tolérance Zéro" !

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Attaques de policiers ou de pompiers, violence dans les hôpitaux ou les écoles, montrent l’impunité dans laquelle évolue ces voyous qui n’ont plus de limites, pas même celle de donner la mort.
La violence est quotidienne, aveugle, exponentielle… Il faut agir vite, fort et pendant longtemps. La politique de Tolérance zéro, pour être efficace, doit concerner tout le monde quel que soit le délit.
Le plan « Tolérance zéro » tient en trois actes :
-       Le courage et l’exemplarité citoyenne
-       L’application de la loi et l’efficacité des sanctions
-       La volonté et la détermination politique
Trop souvent, par lâcheté, par manque d’exemplarité, nous encourageons la délinquance à différents niveaux. L’exemplarité est primordiale. Chaque citoyen doit respecter la Loi. C’est-à-dire qu’il faut en finir avec l’exception d’exemplarité. L’exception d’exemplarité, ce sont tous ces moments où l’on critique, en public (souvent en voiture et devant ses enfants), une limitation de vitesse, un panneau de stop, l’emplacement d’un radar, mais aussi un montant d’imposition, une décision administrative, etc… L’exception d’exemplarité c’est vouloir l’application totale de la loi pour son voisin mais pas pour soi-même ou ses proches.
L’exemplarité c’est participer au respect de la Loi. Cela demande du courage. Faire respecter la Loi ce n’est pas prendre un risque physique. C’est faciliter le travail des forces de l’ordre. C’est ne pas participer au désordre public. Faire respecter la Loi, c’est aussi intervenir par la parole en usant de pédagogie et sans sectarisme. Faire respecter la Loi, c’est expliquer en quoi le comportement de la personne est délictueux ou associable ou injurieux.
Le dispositif législatif existe. Il faut l’appliquer.
La crise de l’autorité de l’État ne date pas d’hier. Les prisons sont surpeuplées, des dizaines de milliers de personnes restent libres alors qu’elles devraient être enfermées, la délinquance des mineurs explose, les armes de guerres circulent en toute impunité dans les quartiers, les peines prononcées sont souvent inadaptées, trop légères, pas appliquées… Les lois de la République doivent être respectées partout et par tous, sans exception. L’impunité n’est pas acceptable. Tout délit doit être sanctionné. Toute sanction doit être exécutée.
La politique de tolérance zéro s’appuie sur la théorie de la vitre brisée, dès qu’un carreau est cassé, il faut le réparer sinon c’est le signal que l’on peut tout dégrader. Cela signifie que chaque acte de délinquance doit être sanctionné rapidement et de manière proportionnée. Les actes de rebellions, agressions, violences physiques ou verbales, injures à l’encontre d’un représentant de l’Etat, policiers, gendarmes, instituteurs, professeurs, membres de l’administration pénitentiaire, de l’administration fiscale, mais aussi éducateurs spécialisés dans les associations, encadrants d’activités sportives (notamment les arbitres), quel que soit la qualité ou la motivation de l’auteur doivent être publiquement, rapidement et sévèrement sanctionné.
La police et la gendarmerie sont chargées de maintenir l’ordre et pas uniquement de le rétablir. Les compétences des commissaires de police, des commandants de gendarmerie ou de C.R.S. doivent être augmentés afin de leur permettre de décider, sur le terrain, de la conduite à tenir ? Dans les quartiers, il faut organiser des opérations coup de poing, infiltrer les bandes de cités, recourir à l’armée… Mettre "le paquet" afin d’inverser le processus d’armement des jeunes issus des quartiers défavorisés, remonter les filières de revente d’armes de guerre, multiplier les unités de la Bac.
Il faut prendre le problème à la base.
Repérer les enfants qui ont un comportement violent ou qui posent un problème. Non pas pour les punir, mais pour prévenir toute dérive délinquante.
Responsabiliser les parents (suspension des allocations familiales, suivi par les services sociaux…). Dans les écoles, des amendes doivent pouvoir sanctionner les élèves absentéistes.
Placer les enfants à problèmes dans des pensionnats afin de les éloigner d’un environnement violent.
Isoler les mineurs délinquants dans des centres éducatifs fermés et contraignants ; les suivre continuellement à leur sortie et ce, jusqu'à une réinsertion totale.
Notre pays permet à chacun de s'instruire, de se former, de s'intégrer, de travailler, d'évoluer... Nos aides sociales, notre système de santé, nos institutions sont parmi les meilleurs au monde.
Aussi, il ne convient d’enfermer que des personnes particulièrement dangereuses pour la société.
Les braqueurs à main armée, les auteurs d’agressions avec violence, les assassins, violeurs, pédophiles, récidivistes… doivent être mis en prison, et pendant longtemps. Les peines de ces criminels ne devraient pas être compressées et la perpétuité (si elle est demandée) doit être appliquée réellement. La libération devra être assortie d’un contrôle strict (bracelet électronique à vie par exemple). Pour ce qui est des assassins considérés comme "malades mentaux", l'enfermement en établissement spécialisé doit être généralisé.
Toutes les personnes qui sont actuellement en prison pour des affaires de stupéfiants (petits dealers, consommateurs réguliers…), vols, escroqueries, délits mineurs sans violence… doivent être mises en liberté sous bracelet électronique le temps de leur condamnation, et avec une obligation de suivi très contraignante (contrôle régulier de leur situation, sanctions à la moindre incartade). En cas de manquement, il en sera fini de la liberté sous bracelet, et la peine sera commutée en prison ferme, sans remise de peine, et avec, de toute façon, la pose d’un bracelet à la sortie ! 
La volonté politique d’en finir avec la délinquance doit exister et faire l’objet d’une vaste adhésion.
La priorité est d’en finir avec la théorie de l’excuse. Entre l’absence parentale, le malaise social (chômage), la victimologie (délit de faciès), les déséquilibres psychologiques, l’âge etc… les excuses pour les délinquants ne manquent pas. Il faut cesser avec vision dangereuse et irréaliste, ne serait-ce que par respect pour la grande majorité des habitants et des jeunes de ces quartiers qui ne tombent pas dans la délinquance !
Il faut frapper vite et fort pour reconquérir ces territoires. Le ministère de l’intérieur dénombre 360 zones « sensibles ». Dans ces zones vivent 4 millions d’habitants, qui ne sont pas tous djihadistes, pas tous trafiquants de drogue, pas tous anti-français. Certainement qu’une grande partie d’entre eux sont des victimes, pris en otages par ces minorités agissantes.
Oui M. le ministre de l’intérieur, vous avez raison de déclarer que chaque cave, chaque squat, chaque recoin des cages d’escaliers doivent être inspectés. Mais il ne suffit pas de déclarer, il faut agir. Le testament de votre prédécesseur, dans lequel il reconnaît l’incapacité politique du président de la République à prendre ma mesure de l’enjeu sécuritaire, doit vous guider. Les arrestations doivent se multiplier pour contrôler la situation des interpellés. Des expulsions ou des incarcérations doivent être prononcées par des magistrats mobilisés dans cette action d’envergure. La gangrène est là, il faut couper le membre infecté. Nous verrons plus tard comment l’empêcher de revenir.
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#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police