La haine comme mobile politique

La manipulation constante de l’émotion sape la démocratie. Certains crachent leur haine en profitant de l’anonymat des réseaux sociaux. D’autres s’immiscent dans les sempiternelles polémiques des chaînes d’information en continu pour proclamer leur exécration de notre société. Dans la rue, la violence contre les biens et les personnes semble devenue un moyen d’action légitime des insatisfaits. Dans les universités de pseudo-intellectuels bardés de diplômes enseignent à la jeunesse la détestation de leur société parce qu’ils se détestent eux-mêmes.
Haro sur les hommes,  violeurs en puissance !

Il devient dangereux de défendre l’État de droit. Dire qu’un viol n’existe juridiquement que lorsqu’il a été judiciairement reconnu conduit désormais à être insulté de toutes parts. S’il suffit à une femme de déclarer que tel homme l’a violée pour obtenir le soutien de l’opinion, et parfois même de ministres, par médias interposés, tout homme est une victime potentielle de la calomnie. En démocratie, seule la vérité judiciaire compte parce qu’elle permet un débat contradictoire devant le juge d’instruction et qu’elle repose donc sur des preuves constatables par tous.

Même si toute personne raisonnable ne peut que s’offusquer du nombre de crimes et délits à caractère sexuels impunis, la clameur médiatique ne doit pas remplacer la réflexion judiciaire. L’émotion ne doit pas se substituer à la raison. Pourtant, nous y sommes. Le lynchage médiatique n’attend plus l’imparfaite justice des hommes. La mort sociale peut précéder la culpabilité ou l’acquittement sur la base de preuves.
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#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police