Mathieu Bock-Côté : Comment la police de la pensée tente de faire taire ses détracteurs

On connaît les faits : de passage, le mercredi 13 novembre, sur le plateau de David Pujadas, à LCI, pour parler de la situation de la liberté d'expression, Alain Finkielkraut a été attaqué par Caroline De Haas, qui l'a accusé de banaliser le viol. Exaspéré par cette accusation aussi mensongère que grossière, Finkielkraut a décidé de répondre de manière ironique en disant qu'il plaidait pour le viol des femmes, en plus de violer la sienne tous les soirs. Tout le monde a compris qu'il s'agissait d'une boutade et que le philosophe tournait en ridicule les propos de Caroline De Haas.
Cela n'a pas empêché la mouvance néoféministe de chercher à s'appuyer sur cette séquence pour mener une charge contre le philosophe, dans l'espoir de l'expulser du domaine public une fois pour toutes. Alors, comme aux plus belles heures de la police politique, on a fabriqué la preuve qu'il fallait pour coincer Finkielkraut, en produisant une vidéo tronquée, vite publiée sur les réseaux sociaux, en plus de lancer un appel à la délation contre lui. Ce qui fait la force d'un lobby, c'est sa capacité… Lire la suite de l'article.
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