Sciences Po Grenoble: «Un pouvoir politique responsable n'aurait pas permis un tel déni de justice» - Par Céline Pina

Interpellée dans Le Figaro par 40 universitaires après le renvoi de Klaus Kinzler de Sciences Po Grenoble, la ministre de l'Enseignement supérieur a réagi. La réponse de Frédérique Vidal témoigne d'un pouvoir tétanisé par la peur d'agir qui renvoie dos à dos agresseurs et victimes, argumente Céline Pina.


L'affaire de Sciences Po Grenoble prend une dimension nationale après que les étudiants qui ont faussement accusé de racisme et de fascisme deux professeurs et les ont mis en danger ont été relaxés par une commission de discipline, tandis que l'une des victimes de cette cabale a été suspendue par Mme Saurugger, la directrice de l'Institut d'Études politiques de Grenoble. Absoudre les fautifs pour jeter l'opprobre sur la victime a, à juste titre choqué. Une quarantaine d'universitaires ont interpellé la ministre de l'enseignement supérieur sur l'emprise islamogauchiste au sein de l'université et sur la réponse qu'il convenait d'apporter à une suspension qui a tout d'une tentative de censure.

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