Justice sociale, urgence écologique… Et si le gouvernement s'attaquait plutôt au vrai problème : son incurie budgétaire ?

À l’aube de cet acte II du quinquennat, le Premier ministre nous dit qu’il y a urgence(s). Pour être plus précis, quatre urgences, l’une économique, avec les plans sociaux, l’autre sociale, celle des territoires isolés, la troisième écologique, à l’appel de la jeunesse, et la quatrième politique, nourrie par la peur du déclin de la France.
Pour y répondre, le gouvernement nous propose pour les trois ans qui viennent d’une part « la justice sociale » et d’autre part « l’ambition écologique ». Ces deux pistes ne seront pas suffisantes car elles ne répondent ni à l’urgence économique, ni à l’urgence sociale, ni à l’urgence politique. (Lire la suite de l'article)
L’urgence politique est réelle car tous les gouvernements successifs ont abandonné l’idée de mieux gérer la France, qui reste toujours, malgré les discours, le pays le plus taxé et le plus dépensier d’Europe.
Baisser la dépense publique, supprimer des échelons administratifs, baisser les charges, autant de pistes systématiquement remises au lendemain
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