Mathieu Bock-Côté: «La repentance, une faute de la République»

Dans le cadre d’un voyage à Abidjan, Emmanuel Macron a affirmé que le colonialisme avait été une «faute de la République». Il faisait écho à sa déclaration de 2017, en Algérie, où il avait qualifié le colonialisme de crime contre l’humanité. Qui s’en surprendra? La repentance s’est imposée, depuis au moins une quinzaine d’années, comme un rituel obligé, auquel doivent apparemment se soumettre les politiques. C’est à cette condition que le dialogue pourrait reprendre entre le Nord et le Sud, entre la France et ses anciennes colonies. Autres temps, autres mœurs: la France croyait sauver le monde en le colonisant, en apportant aux peuples lointains les lumières de l’émancipation, comme elle avait voulu imposer aux peuples européens le génie de la Révolution. Aujourd’hui, elle est condamnée à se soumettre à un processus d’expiation perpétuel. Ce qui se perd, c’est le bon sens. Et l’anachronisme triomphe.
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