Pour en finir avec les 35 heures

Parmi les maux qui rongent l’hôpital public, l’instauration des 35 heures de travail hebdomadaire figure en bonne place.
Frédéric Valletoux, président de la Fédération hospitalière de France (FHF), auditionné par la Commission d’enquête sur l’impact sociétal, social, économique et financier de la réduction progressive du temps de travail de l’Assemblée nationale, en 2014, indiquait :
« In fine, la mise en place de la RTT ne s’est pas traduite par une baisse significative de la pénibilité, et encore moins de l’absentéisme. Le meilleur indicateur de cette désorganisation induite par la RTT est le nombre de jours stockés sur les comptes épargne-temps (CET) – 5,9 millions de jours comptabilités à la fin de l’année 2010. Le « droit » compris comme acquis n’est donc que virtuel. »
Et il ajoutait ensuite : « Au titre des impacts majeurs de la RTT, il faut également souligner une augmentation sans précédent de la masse salariale ces dernières années – + 30 % entre 2002 et 2012 –, ce qui a majoré fortement le coût du travail dans le secteur public ».
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