Goldnadel : Comment l’extrême gauche ressuscite la violence politique

Violence. La violence est partout. Elle augmente irrésistiblement. On s’y habitue dangereusement. Mais il y a violence et violence.
Il y a d’abord la violence urbaine. Le Figaro du 17 janvier, dans un article éclairant autant qu’effrayant de Jean-Marc Leclerc, annonçait que selon les chiffres officiels en matière d’agressions, de viols et d’homicides, la délinquance avait «explosé» en France en 2019. Les explications sont multifactorielles, mais il faut être lâche ou stupide, pour autant que ce soit incompatible, pour ne pas y voir un lien avec l’immigration massive illégale et avec la faillite du système pénal et carcéral. Rien n’indique en ce début d’année que 2020 ne soit pas encore un meilleur cru que 2019, au regard de l’absence d’une vraie prise de conscience dans les milieux encore relativement épargnés par l’insécurité montante.
Mais il y a aussi la violence politique, qui n’est pas tout à fait sans lien avec la précédente. Le Président de la République, sans doute pour montrer que son aggravation avait précédé sa prise de pouvoir, a mentionné récemment et justement les exactions commises par les zadistes à Notre-Dame des Landes. Mais cette mention eut été plus pertinente si ce n’était précisément au début de son magistère que ces écologistes violents et méprisant le droit de propriété n’avaient obtenu gain de cause. Difficile de montrer plus emblématiquement combien le délit est payant.
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