«Pourquoi la vie intellectuelle est si affaiblie en France, où elle rayonna longtemps»

Parmi les sujets de prédilection qui nourrissent nos échanges publics et privés, on relèvera «le charme discret de l’intestin», «les personnalités toxiques», la sexualité ou les origines ethniques de tout un chacun, mâtinés de considérations psychologiques. Émissions de radio et polémiques médiatiques, livres à succès, réseaux sociaux, articles des magazines et experts autoproclamés en témoignent, les préoccupations de nos contemporains sont descendues de quelques étages.
En un demi-siècle, nous sommes passés de la quête des fins dernières et des philosophies de l’histoire, religieuses ou politiques, bref, d’une réflexion sur le sens de notre brève existence terrestre, à des préoccupations à court rayon d’action, le corps et ses humeurs. La bagatelle serait devenue l’alpha et l’oméga de la vie en société, et la conscience minoritaire se serait imposée en déterminant essentiel de nos existences. Le vent qui souffle très fort en provenance des universités nord-américaines nous impose, quarante ans après leur formalisation, les préoccupations raciales et sexuelles nées sur les campus de ces sociétés puritaines et postcoloniales.
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