Nicolas Baverez : « L’Europe aveugle face à son encerclement »

Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Stefan Zweig dans Le monde d’hier décrit en ces termes la tranquille inconscience qui précéda le cataclysme de 1914: «Jamais je n’ai aimé davantage notre vieille Terre que dans ces dernières années qui ont précédé la guerre mondiale, jamais je n’ai espéré davantage l’unification de l’Europe, jamais je n’ai cru davantage en l’avenir que dans ce temps où nous pensions apercevoir les rougeurs d’une nouvelle aurore. C’était en réalité la lueur de l’incendie qui allait embraser le monde».
Lire la suite de l'article
https://pourunenouvellerepubliquefrancaise.blogspot.com/https://grandeschroniquesdefrance.blogspot.com/https://parolesdevangiles.blogspot.com/https://raymondaronaujourdhui.blogspot.com/

#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police