Goldnadel : « L’inexplicable passivité française face au régime des ayatollahs »

L’exercice à venir est ingrat, en tous les cas il est rare au sein du monde médiatique et intellectuel français contemporain: ne pas ménager la République Islamique dans son conflit contre l’Amérique et comprendre la décision du président de celle-ci d’avoir éliminé le serviteur le plus zélé de celle-là.
Pour des raisons tenant apparemment aux mystères de la raison et que j’aurais tenté d’élucider à plusieurs reprises dans un environnement assez hostile, la République islamique d’Iran n’a pas très mauvaise presse française au regard de ce qu’elle est et de ce qu’elle fait.
Voilà en effet un régime qui maltraite sa population depuis sa fondation. Qui noie toute forme de contestation dans le sang. Qui fait pendre les homosexuels. Qui enferme les femmes dans les voiles et fait fouetter et enfermer les avocates qui défendent les femmes non voilées.
Voilà un régime qui, à l’extérieur, foule aux pieds les lois internationales sur les engins balistiques. Inscrit sur ses missiles: «Israël sera détruit». Inscrit sa politique dans un impérialisme aujourd’hui rejeté de Beyrouth à Bagdad. Pratique le terrorisme international y compris en France lorsqu’il tente de faire poser des engins explosifs l’an dernier lors du meeting organisé par la Résistance Iranienne à Villepinte. Fait poser des bombes par son Hezbollah interposé au Centre Communautaire juif de Buenos Aires (75 morts). Prend en otages des scientifiques françaises sans que le gouvernement français ni la presse ne s’en émeuvent excessivement.
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