La solution au problème des retraites, c’est la liberté de choisir

La réforme des retraites relève de la manie égalitaire d’un État démiurge. C’est du socialisme pur jus. Le socialisme veut uniformiser et faire entrer tout le monde dans un même moule, alors que chacun est différent. Il veut décider pour les autres et surtout avec l’argent des autres.
Mais quand le service devient public, toutes les lois individuelles disparaissent pour se fondre, se généraliser dans une loi écrite, coercitive, la même pour tous, qui ne tient nul compte des situations particulières, et frappe d’inertie les plus nobles facultés de la nature humaine.
Frédéric Bastiat Services privés, service public (1850)
Une stratégie souvent adoptée par les libéraux est de présenter leurs idées et de les défendre sur des critères objectifs, sur le terrain de la raison. Par exemple, de mettre en avant leur efficacité économique.
Il en est de même quand ils mettent en relief la nullité gestionnaire atavique de l’État, quand ils attaquent les mesures socialistes sur leur nocivité économique bien réelle, ou sur les gaspillages entraînés, bien réels eux aussi, ou sur leurs effets dans la vraie vie, complètements contraires aux objectifs déclarés.
Cette méthode est employée sur le terrain des retraites. La plupart des publications, libérales ou apparentées, se portent sur le terrain des gaspillages, de la dangerosité économique et des effets pervers de la réforme.
On peut citer l’excellent rapport publié par l’Institut Économique Molinari et Contrepoints : « Retraites françaises, sortir de l’impasse, préparer l’avenir » ou le très clair article de l’IREF : « Réforme des retraites : le risque c’est l’État ».
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