« La prise à partie du chef de l’État est un symptôme du chaos démocratique »

Un rassemblement hostile au président de la République pendant qu’il assistait samedi soir à une représentation théâtrale à Paris, accompagné de son épouse, a choqué le monde médiatique et suscité de nombreux commentaires indignés, y compris de ses adversaires politiques. Certes, dans l’histoire de la République, jusqu’à ces dernières années, les manifestations de colère dirigées physiquement contre un chef de l’État ont été rarissimes. Le 3 juin 1899, dans un climat de grande tension lié à l’affaire Dreyfus et au scandale de Panama, Émile Loubet était pris à partie aux «courses» d’Auteuil et victime d’un coup de canne. Quelques années plus tard, Armand Fallières, le 25 décembre 1908, se faisait gifler lors de sa promenade quotidienne - sans protection - sur les Champs-Élysées. Mais en dehors de ces deux exceptions (et hormis les assassinats de Sadi Carnot en 1894 et Paul Doumer en 1932), les présidents de la République ont été plutôt respectés et populaires.
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