Sexisme: le mythe du continuum - Par Ingrid Riocreux

Le néoféminisme s’institutionnalise. L’une de ses thèses les plus farfelues et les plus populaires est ainsi reprise, sans aucune distance, par la plupart des journalistes et une nouvelle campagne officielle nationale de « sensibilisation ». Pourtant, il existe parmi les meurtriers se rendant coupables d’un « féminicide » une part non négligeable d’hommes qui n’avaient jamais levé la main au préalable sur leur victime. Ce sont les malheureux « crimes passionnels », qu’on n’a plus le droit d’appeler ainsi. Ingrid Riocreux, spécialiste du langage médiatique, analyse ce qui est problématique dans le nouveau spot du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes.


Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes a produit un spot censé prouver les ravages du sexisme :


Il s’agit là de la version courte d’une bande sonore plus longue, disponible sur le site du HCE, que vous pouvez écouter en cliquant sur ce lien.

Réaliste et angoissante, cette fiction sonore signée Carole Fives (le texte ici) n’invente rien ; elle est même très bien écrite. Mais illustre-t-elle vraiment le sexisme ? Un conjoint suspicieux et étouffant potentiellement violent, une entreprise qui craint le manque de disponibilité d’une jeune maman, un dragueur lourd dans la rue : ce sont des types humains, au même titre que la peste capricieuse, la femme manipulatrice, la patronne tyrannique, etc.

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