«Extinction Rébellion, décrocheurs de portraits... La morale ne doit pas exonérer de la loi»

Il existe une tendance moderne ou plutôt moderniste à considérer que celui qui s’estime dans son bon droit moral croit pouvoir s’exonérer de toute obligation juridique. Ainsi, le respect intègre et intégral de la loi ne serait plus intrinsèquement moral. Le sage qui s’affranchit des rigueurs de la mode en discerne déjà tous les périls. L’exemple le plus récent en même temps que le plus grotesque nous a été donné par ce juge idéologue et lyonnais qui a considéré un 16 septembre que le militant qui dérobait dans une mairie le portrait officiel du président de la République au nom de la sainte cause climatique était poussé par un état de nécessité tel qu’il ne saurait avoir commis un vol délictuel.
J’ai bien conscience d’attenter moi-même quelque peu à cette majesté judiciaire nécessaire en critiquant ceci, mais c’est comme si j’étais poussé irrésistiblement par une espèce d’état de nécessité de dénoncer cela.
C’est sous les auspices de cette philosophie athée d’essence religieuse qu’Anne Hidalgo a tenu à apporter son soutien public autant que prestigieux aux actions du mouvement Extinction Rebellion «dès lors que celles-ci ne sont pas violentes». Pour les automobilistes parisiens qui n’ont pas eu à souffrir du blocage illégal de la voie publique par ces rebelles courageux ne courant aucun risque, le mouvement soutenu par l’édile municipal en chef bloque depuis des jours la place du Châtelet et l’artère qui y mène au nom de l’écologie radicale qui entend s’opposer radicalement à l’extinction de la planète selon eux inéluctablement programmée.
La maire de Paris, semble ne pas appréhender pleinement la violence physique et psychologique imposée délibérément à des travailleurs parisiens… Lire la suite de la Tribune
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