«Trump et les Kurdes de Syrie, ou la trahison d’alliés en guerre»

Le manquement à la foi donnée à ses frères d’armes exposés au péril suprême est, de toutes les formes du déshonneur, celle qui inspire la plus grande honte. L’annonce par Donald Trump de l’abandon des Forces démocratiques syriennes, composées en majorité de Kurdes vainqueurs d’héroïques batailles contre l’État islamique, éveille en Occident un sentiment bienvenu de culpabilité. Certes, critiqué à Washington même par ses soutiens les plus indéfectibles, le président des États-Unis a, depuis, fait volte-face. Le sort des valeureux combattants kurdes n’est donc pas scellé. Cependant, goûtant des jours tranquilles à des milliers de kilomètres des combats, les Occidentaux sont tentés de détourner le regard de ce qui gêne. On songe à la définition du mal par saint Thomas d’Aquin dans la Somme théologique : le choix de «subir le dommage de l’ignorance»pour se donner la liberté de laisser advenir une vilenie.
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