Philippe d’Iribarne: «La crainte d’être accusé d’‘‘islamophobie’’ paralyse l’action»

FIGAROVOX/ENTRETIEN - Pour le sociologue*, nous devons affronter une question délicate: quels critères rendent légitime d’appliquer un principe de précaution à l’égard de personnes?



LE FIGARO. - Aussitôt après la tuerie de la Préfecture de police, le ministre de l’intérieur a évoqué un «coup de folie» et écarté l’hypothèse terroriste, avant, plus tard, de devoir se raviser. Que vous inspirent ces déclarations successives?
Philippe d’IRIBARNE. - À propos de cet attentat, comme pour ceux qui l’ont précédé, on assiste à une concurrence des interprétations, d’autant plus que les faits restent incertains: soit c’est du terrorisme, manifestation d’un islam radical, soit c’est un coup de folie ou encore… Lire la suite de l'entretien
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