Mathieu Bock-Côté : « Quand le féminisme vire au complotisme »

Selon qu’on soit de bonne ou de mauvaise humeur, le néoféminisme qui domine le monde universitaire anglo-saxon poussera à la rigolade ou à l’exaspération. On a pu le constater encore une fois cette semaine à la lecture d’un article de l’AFP expliquant les résultats d’une étude «scientifique» publiée dans la Proceedings of the Royal Society B, consacrée à la surreprésentation des animaux mâles dans les musées d’histoire naturelle à Londres, Paris, New York, Washington et Chicago.
L’auteure de l’étude expliquera ainsi sa démarche: «Nous nous intéressions aux préjugés de genre dans le milieu scientifique, où il y a par exemple une surreprésentation de chercheurs hommes blancs aux postes haut gradés. Aussi trouvions-nous intéressant de voir si ce biais masculin se retrouvait dans les collections des musées». Le musée serait donc un autre «boysclub» reproduisant les codes de la domination patriarcale.
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