Pourquoi les écologistes se sont toujours trompés

Il y a trente ans, 20 millions d’Américains participaient au premier “Jour de la Terre” (Earth Day). C’était le 22 avril 1970. La 5e Avenue de New York avait été fermée à la circulation et quelque 100 000 personnes assistaient à des concerts, à des allocutions et à des représentations de théâtre de rue. Dans tous les Etats-Unis, plus de 2 000 universités et établissements d’enseignement supérieur interrompaient leurs manifestations contre la guerre du Vietnam pour se mobiliser sur le thème de la pollution et de la croissance démographique.

Ce Jour de la Terre de 1970 a déclenché un déluge de prévisions apocalyptiques. “Il nous reste au maximum environ cinq ans pour faire quelque chose”, déclarait l’écologiste Kenneth Watt, le 19 avril 1970, devant ses auditeurs du Swarthmore College, en Pennsylvanie. De son côté, George Wald, biologiste à Harvard, affirmait : “La civilisation disparaîtra d’ici quinze ou trente ans si l’on ne prend pas immédiatement des mesures pour faire face aux problèmes qui se posent à l’humanité.” Même la page éditoriale de l’austère New York Times alertait son lectorat en ces termes : “L’homme doit mettre fin à la pollution et préserver ses ressources, non seulement pour améliorer ses conditions de vie, mais aussi pour sauver l’espèce humaine d’une intolérable dégradation et d’une éventuelle extinction.” Très Apocalypse Now !


Lire la suite de l'article
https://pourunenouvellerepubliquefrancaise.blogspot.com/https://grandeschroniquesdefrance.blogspot.com/https://parolesdevangiles.blogspot.com/https://raymondaronaujourdhui.blogspot.com/

#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police