« Un féminisme est en guerre contre le moulin à vent d’un patriarcat moribond »

FIGAROVOX.- Vous consacrez encore un numéro de Causeur à la critique du féminisme ! N’avez-vous pas l’impression d’en faire trop ?
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Elisabeth LÉVY.- D’abord, s’agissant de l’une des religions de l’époque, qui somme les hérétiques d’abjurer (rappelez-vous Bruno Le Maire expliquant en bafouillant que bien sûr, il dénoncerait un harceleur), on n’en fait jamais trop. En l’occurrence, nous avons surtout voulu défendre les victimes de l’inquisition menée par ce que Peggy Sastre a appelé le féminisme policier: les hommes, tous considérés comme des violeurs, des agresseurs, des harceleurs en puissance.
En effet, pour que chaque femme soit une victime, il faut que tous les hommes soient coupables. Cet amalgame éhonté repose toujours sur la même confusion entre la norme et la transgression de la norme. Le résultat, c’est que des hommes peuvent tout perdre sur la foi d’une accusation. Peu importe qu’elle se dégonfle ensuite: les sentences du tribunal médiatique sont insusceptibles de recours. Et par la magie planétaire d’Internet et des réseaux sociaux, leur application n’a aucune limite, ni dans le temps, ni dans l’espace.
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